Mezz Zapharelli – Artiste peintre
Mezz Zapharelli – Artiste peintre
« La création est un monde de beauté et d’amour, l’art est un fruit de l’âme, une médecine qui nous ouvre les portes. Nous nécessitons une réflexion profonde où les clés nous sont données à un monde dimensionnel, porteur de messages, comme une alchimie sur les couleurs et les sens. Les symboles sont mis naturellement en valeur… L’œil du peintre harmonise et remplace la grisaille du temps. Nous transcendons le passé afin d’apaiser et de purifier les lieux et les souvenirs. »
Mezz Zapharelli revient encore une fois pour nous partager un peu de sa poésie, celle de l’authenticité et de la bienveillance. Avec chaque œuvre est une trace d’un moment captivant dont la beauté ne vient pas seulement de ce que l’on voit, mais bel et bien de ce que l’on ressent, de cet apaisement trouvé dans la contemplation.
Alors, que la dernière fois, elle nous parlait de ses peintures à l’huile et de ses croquis sur papier. Cette fois-ci, l’artiste nous conduit vers une de ses réflexions sur le monde. La place de l’humain dans cette société de plus en plus inhumaine et son impact sur la faune et la flore, terrible et affligeant.
« Les artistes sont là pour rappeler à l’homme que la nature existe et que rien ne pourrait la remplacer… Le monde à venir nous ment, l’homme est la plus belle réalisation sensorielle, il ne peut pas être remplacé par une machine. L’alchimie est importante, on ne peut pas échanger le cœur avec l’intelligence artificielle. La vraie émotion est unique et insaisissable. »
Touchée par ce constat, désireuse de sensibiliser et surtout, volontaire pour mettre en lumière le charme de notre monde, Mezz Zapharelli reste fidèle à sa sensibilité et glisse des messages dans ses toiles. La peinture comme langage, la communication devient la clé de l’espoir, mais aussi le moyen de réveiller les consciences…
« Je suis heureuse de ne jamais avoir pris la direction de l’art conceptuel et d’être restée dans la voix de mon écoute profonde, à savoir être près de la nature. L’homme est irremplaçable et vertueux, car il a ce lien avec son environnement naturel. L’homme, s’il écoute ses sens, il est extraordinaire. Nous sommes déjà une machine, une création naturelle, qui s’oublie de plus en plus dans cette société. »
Son rôle de peintre, de témoin d’une époque devient une forme de liberté. Elle tente de nous montrer, par des vibrations et des rythmes d’énergie positives ainsi qu’une expression chaleureuse, que le quotidien possède sa part de beauté, qu’un retour aux essentiels est nécessaire pour protéger notre planète et nos valeurs. Admirons ces nouvelles œuvres, intimement lié à cette à ce désir d’utiliser à outrance la technologie…
« Ma perception enlève tous ces gris quand on se balade, ou que l’on ressent le poids du passé, la pression des préoccupations actuelles, le moment d’après… Je suis à ma place, je montre la beauté des choses que l’on ne remarque pas assez. »
Retrouvez Mezz Zapharelli prochainement à Paris :
- À partir du 7 mai à l’Espace Sorbonne au 4 rue de la Sorbonne dans le cadre d’une exposition intitulée « Changer le plomb en or » ;
- À partir du 11 septembre, dans le neuvième arrondissement, à la bibliothèque Louise Walser-Gaillard au 26 rue Chaptal pour une autre exposition.
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