Richard Seren – l’art ancestral chinois traverse les frontières

Richard Seren – l’art ancestral chinois traverse les frontières

Musée océanographique de Monaco Richard SEREN

« Une exigence pour que l’art de peindre devienne un art de vivre »

Un tatami posé au sol, quelques instants de méditation et une extrême concentration, une feuille de papier de soie et de l’encre de Chine : Richard Seren nous ramène une méthode de création très peu courante et surtout très technique : le trait unique dans la tradition ancestrale chinoise.

Si, depuis toujours, Richard est intéressé par l’art, il apprend ses techniques en autodidacte puis devient paysagiste pour la Principauté de Monaco. De voyage en voyage, sa culture se développe. Il rencontre un maître Chinois et c’est le coup de foudre pour la technique. Tout en équilibre et ne laissant pas le droit à l’erreur, l’art chinois repose avant tout sur deux principes, aller à l’essentiel et maintenir l’équilibre.

Seul, il met son encens et sa musique. Son esprit et son imagination se mettent en route devant la feuille blanche. Il médite. Au bout d’un certain temps, l’image lui apparait et son trait unique se libère. Pas de modèle ni de retour en arrière : sa création est déjà en tête. Il faut connaître la nature par cœur, nature qu’il avait vue en étant paysagiste. Passionné, il peut lui arriver de faire des démonstrations pour que nous puissions comprendre davantage cet art si précis.

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